« Sur le toit d’ardoises déchaussées, un promontoire en fer s’élançait tel un plongeoir vers la vieille ville. Je m’approchai et déchiffrai l’inscription sur le panneau en contreplaqué : « Pas plus d’un suicide par jour ». C’est avec une bonne pincée d’humour grinçant qu’Iris Petitjean évoque dans cette dystopie universitaire le sort vacillant d’étudiants mélancoliques. Attention risque de chutes !