Au gré de ses balades dans la vallée de l’Yon où elle et son mari résident depuis bientôt quarante ans, Françoise Bourmaud, dans les pas de leurs ancêtres, nous entraîne au rythme du haïku, petit poème de l’instant qui dit l’essentiel en peu de mots, vers un monde où la Nature nous conte encor ses merveilles. De ces doux murmures, l’haïjin se régénère, ressentant ainsi au plus profond d’elle-même la nécessité d’un être humain en accord avec la Terre, sa maison.