Ignace est embauché comme emballeur (dans un quelque part qui ressemble à Oran) au « Club des convalescents », institution américaine chargée de remettre d’aplomb les soldats « choqués » lors du débarquement et des combats qui suivirent. Il fait remarquablement son métier, au point que l’on dise à son propos que, dès la guerre finie, il deviendra le plus grand emballeur de Los Angeles. Mais tout ne se passera pas comme prévu…