C’est avec son carnet à dessin et sa boîte de couleurs sur le porte-bagage que Florence d’Aboville musarde dans l’île et s’arrête au gré de ses émerveillements. Dans cette vision intime et poétique de l’île, où la vie coule sa douceur loin des fracas du monde, à pas furtifs Monik Malissard s’est glissée.
